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- Catégorie : Revue de presse du Festival 2013
De jeunes algérien(ne)s créatifs, souriants et engagés dans leur pays, voilà une image de l'Algérie peu répandue quand les médias internationaux préfèrent parler des affaires de corruption, du chômage de la jeunesse et de la léthargie politique. Le festival « Algérie en mouvement » qui se tient du 12 au 16 octobre à Paris montre une autre réalité.
A lire les médias internationaux, l'Algérie n'aurait que des problèmes : niveau d'éducation en baisse, économie amorphe, malaise de la jeunesse, frustration sociale, etc. C'est du moins l'image présentée à une semaine d'intervalle dans deux quotidiens anglophones renommés, Le New York Times et le Guardian, qui insistent tous deux sur le manque de perspectives encourageantes pour le pays due à une situation d’inertie politique. [...]
Ceux qui restent et agissent
Si le taux de chômage élevé et les difficultés d'accès à l'emploi pour les jeunes diplômés une réalité indéniable, il en est une autre, plus optimiste. Celle d'une « Algérie en mouvement » entraînée par «une jeunesse algérienne dynamique et créative, animée par le désir d’aller de l’avant ». C'est du moins l'image présentée en ouverture du festival « Algérie en mouvement » dont la première édition s'est ouverte, hier, à Paris. Dans la salle bien pleine de la mairie du XVIIe arrondissement, Yacine Hirèche de l'association Cinéma et mémoire, Yasmine Bouchène, fondatrice du webzine Vinyculture, Fayçal Rezkallah, du collectif de photographie Isoclub, Karima Belasli de l'association Femmes en communication et Aniss Lammali, de l'agence de communication Popium, arrivés d'Alger la veille ont montré un visage de l'Algérie rarement médiatisé.
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Paris - S'est ouvert mardi soir, le festival "Algérie en mouvement", un événement annuel, organisé et financé par les autorités algériennes, via une organisation appelée forum France Algérie, dans l'optique de se confectionner une autre image en France.
L évènement qui se déroulera à Paris, Aubervilliers, Montreuil et Nanterre du 12 au 16 novembre, a débuté par un focus sur les Médias en Algérie, une rencontre-débat mettant en relief le monde bouillonnant des nouveaux médias et réseaux sociaux algériens, auquel ont pris part de jeunes associatifs (Web journalistes, photographes,journalistes, animateurs de radio etc).
La rencontre a été étrennée par la projection de deux documentaires : la Méga randonnée du 1er mai 2011, de l association oranaise Bel Horizon, et Bejaia Doc présentant les actions innovantes de représentants des médias algériens.
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3 Questions à Katia Yezli. Commissaire de l’exposition YAA
Cinq artistes algériens sont programmés à la galerie Talmart (Paris) dans le cadre du Festival Algérie en mouvement, qui se déroule en France, jusqu’à 30 novembre.
- Vous présentez une génération d’artistes qui, dans leur propre pays, n’ont pas de visibilité. Expliquez-nous votre démarche...
K. Yezli : Depuis plusieurs années, il y a un intérêt croissant en Europe pour les artistes du monde arabe, en particulier ceux du Maghreb (moins visibles que les autres). Mais on a très rarement l’occasion de voir en France ou ailleurs des artistes contemporains qui travaillent et vivent en Algérie. On voit plus souvent des artistes venant de Tunisie, je pense notamment à une exposition à l’IMA (dégagement…), ou à la galerie Talmart (politiques), où se passe l’exposition YAA, ou encore du Maroc. L’Algérie est à la traîne, notamment en termes de visibilité, dans ce domaine, bien qu’il y ait une réelle curiosité sur ce qui se fait là-bas. Et j’observe souvent au cours de mes discussions sur cette exposition un certain étonnement qu’il puisse exister des artistes en Algérie qui ont véritablement une pratique contemporaine et dont le travail a une portée tout aussi «universelle».
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Le Festival Algérie en mouvement s’est tenu entre le 12 et le 16 novembre à Paris, Nanterre, Montreuil et Aubervilliers, à l’initiative du Forum France-Algérie (FFA), avec l’objectif principal «la mise en valeur du dynamisme de la société civile algérienne» et contribuer ainsi à «une meilleure connaissance de l’Algérie au sein du public français et franco-algérien».
Les organisateurs de cet événement, destiné notamment à la communauté algérienne et à la société civile française de la région parisienne, se sont attelés à défendre et à encourager une Algérie, celle «en mouvement, dynamisée par une jeunesse créative».
Lors de l’ouverture officielle, le président du FFA, Farid Yaker, a indiqué que ce festival vise à «révéler les talents de la jeunesse algérienne à la société civile française dans le but de renforcer les relations algéro-françaises», sous les yeux ravis de Souad Massi, marraine du FAEM 2013. Il faut dire aussi que ce genre d’événements sert à améliorer l’image de notre pays à l’étranger, très particulièrement en France où «26% seulement des Français ont une bonne image de l’Algérie», selon M. Yaker.
Photo © D. R.
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